july-in-Paris

Un blog, des actualités, de l' écriture, un tremplin, une cure. Ma cure.

Mardi 31 juillet 2012 à 21:29

13 articles, peu fructueux tout ça.


J'aurais fait tout et n'importe quoi
J'aurais essayé de me reposer, rentrer dans un train train
Une routine quotidienne à base de métro, boulot, repos
Puis j'aurais aussi voulu rompre cette routine avec des expériences qui servent à rien
Rentrer  à pied, aller dans la mauvaise direction,
chercher à comprendre ce qu'il y avait sur cette île mystérieuse près de laquelle mon métro passait tous les matins
: Un square pour riches de Neuilly, pardon.
J'aurai pas fait un tiers de ce que j'aurai pu, encore plein de choses à faire dans la capitale,
pour ceux qui restent/reviennent en août pas d'inquiétude,
Si le soleil n'est pas là vous aurez toujours les expos, les concerts improvisés,
l'effervescence parisienne à votre disposition
J'ai vu récemment sur tweeter tout un tas d'articles titrés ainsi
"A paname, au mois d'août", comme si c'était un exploit, et que le mois de juillet ne comptait pas!
Discrimination !
Un retour de ce mois passé ?
se poser beaucoup moins de questions, foncer, s'amuser.

Oui, ça marche plutôt bien comme ça.
Départ bientôt, retrouver le soleil, la sérénité des vacances,
le calme des îles , la chaleur des soirées,
Crête me voilà !

Mercredi 25 juillet 2012 à 20:22

Fréquentations régulières, passagères et éphémères.

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C'est étonnant c'est presque ce que je cherchais,
Comme une ballade dans Paris à l'aveuglette,
Ce blog est une ère de passage pourdiverses personnes qui se sont égarées là
Dans l'onglet "Communauté" elles se sont laissés intriguées par ces stupides titres d'articles impersonnels
Puis, parfois, elles y reviennent,
Comme on cherche toujours à revenir vers un endroit qui nous est cher.
Un lieu qui, quelle que soit la période, quelle que soit la température, l'humeur,
l'atmosphère, l'ambiance, la saison, l'horizon, la hauteur du soleil nous parait accueillant.
Ce lieu parisien pour moi c'est St Michel
Des souvenirs, mais un lieu qui restera toujours pour moi une ressource.
La vie a
finalement voulu que je reste sur Paris,
Au moins pour une année de plus,
Le temps de m'égarer à nouveau sur les pierres chauffées de cet escalier qui descend sur le bord de Seine
Apercevoir Notre Dame au loin, regarder les péniches passer et sourire devant les touristes qui font de grand coucous
Passer devant ce stupide café le Départ,
qui me fera toujours autant sourire,
Me rappellera un jus d'orange à 8€, et un regard complice d'il y a quelques mois
Les temps changent, mais cet endroit restera une bulle de bonheur.




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Cette lumière, ce calme et cette effervescence mêlés.
This is my place

Lundi 23 juillet 2012 à 21:32

J o u r n é e s   d é c i s i v e s .  J e  n e p e n s a i s  p a s   a u t a n t, f a t i g u e   .


C'est ce moment où tu avais fait la croix sur un rêve que tu pensais inaccessible,
Pour réaliser en fait qu'il était à ta portée.
Croire,
Croire en ses capacités, croire en ses aspirations, croire en ses rêves.
Et s'en donner les moyens.
Finalement, Sciences Po, avec un peu de travail en philo et en anglais, c'était possible.
Et puis vient le temps de la frustration.
La frustration du concours qui révèle ses incohérences.
Des notes inattendues en Histoire et en Economie qui sont occultées par
le curieux échec Anglais.
6, éliminatoire.

Recevoir une claque, et une belle leçon de vie,
Sciences Po, Merci?
Et à très vite.
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"Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité."

Antoine de Saint Exupéry.
 

Jeudi 19 juillet 2012 à 22:41

Demain, on est le 20 juillet. Et lundi c'est le 23. Journées décisives




C O M P R E N D R A  Q U I  P O U R R A .








 

Mardi 17 juillet 2012 à 23:35

(Parenthèse éphémère.

Pour la personne qui a posté un commentaire, et pour les personnes simplement de visite, j'explique un peu mon propos. Je suis parisienne, et bloquée sur la capitale pour une mois pour la première fois depuis longtemps. Mais volontairement en fait, j'y effectue mon premier "job d'été". Bref je gagne des sous en rangeant des cartons. J'avoue que j'appréhendais un peu, de voir le temps long, m'ennuyer, envier les gens partis au soleil se dorer la pilule pendant qu'à Paris, en plus, il pleut. (aller, avouons le). C'est pourquoi j'ai décidé de me donner un certain objectif, de tenir un blog le plus régulièrement possible, de sortir, visiter Paris d'un autre oeil, et de profiter tout simplement.

Croyez en mon expérience, ça marche, le temps passe vite (déjà 15 jours, je pars le 2 août courage!)


Ce matin, donc, j'ai décidé de boycotter mon bus que j'avais de toute façon raté, et de marcher vers la prochaine station de métro. Et je suis passé par la Rue des Termophyles (Paris XIV, à voir, et à éviter si vous n'aimez pas les chats.)

http://july-in-paris.cowblog.fr/images/ruedesthermopylesIP.jpg

Photo de Frédéric Baque, son blog, c'est ici, je n'ai pas encore eu le temps de le visiter, mais ça à l'air d'une très jolie autre parenthèse, maintenant que la mienne est refermée. )

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